lundi 29 juin 2015




L’environnement  et   l’enseignement

Avec les connaissances acquises dans les bibliothèques du savoir et la volonté d'une pédagogie écologique …..Ne pourrions-nous pas jouer un autre rôle que celui de troupeau d'excréteurs…éduqués


La planète terre est l’hôte d’une diversité d’espèces vivantes qui sont réparties toute autour de sa superficie.
Il y a une atmosphère qui permet de soutenir toute une panoplie de niches écologiques.
Les humains sont parmis les formes de vie qui sont les plus visibles de l’espace. Ils ont créé un habitat qui utilise de l’énergie à partir des ressources naturelles de la planète.
Les humains lorsqu’ils prennent possession d’un territoire vierge procède au génocide de tout les espèces vivantes qui y sont localisées et organisent des projets de lotissements composés d’infrastructures pour faciliter la vie des humains.
Le lotissement permet d’acquérir des lopins de terre sur lesquels les humains ont un droit de propriété, un droit d’usage et de transaction.

La compréhension de notre environnement devrait permettre de prendre conscience que l’ont ne peut devenir propriétaire unique d’une superficie terrestre sans avoir une responsabilité de coexistence avec les forces de la nature qui nous entoures.
Il est vrai que l’humain seul est démuni dans un environnement naturel…et ne fait pas le poids pour une survie à long terme….mais…
il y a une marge entre vivre seul dans un environnement naturel et vivre dans un environnement complètement dénaturé et remplacé par des matériaux composites et des bitumes transformés de type urbain.

Le propos du présent billet est qu’il y a des mises en garde sérieuses conséquentes du réveil de forces de la nature lorsque l’environnement perd sa capacité de régénération quotidienne.
Ainsi le manque d’eau créer la désertification, le trop fort ensoleillement entretient des ilots de chaleur troposphérique, les activités industrielles modifient l’équilibre gazeux de notre atmosphère, les réchauffements des océans changent le climat, la fonte des neiges dans l’Arctique ajoute un volume d’eau supplémentaire dans les mers, la disparition d’espèce sensible et vulnérable est amorcée et notée dans les registres des biologistes, les catastrophes naturelles telles que: les feux de forêt, les inondations, les tornades et les typhons sont de plus en plus intenses.

Les connaissances acquises au fil du temps dans tous les domaines académiques permettent de faire la différence entre ce qui est menaçant et utile pour permettre le développement de la vie quotidienne.
 La promotion immobilière et les opérations industrielles doivent tenir en compte de qui a une valeur écologique pour ne pas tout détruire.

Il est dans la race humaine un besoin de se regrouper en troupeau de citadins. Les troupeaux de citadins sont particuliers, car ils deviennent démesurés pour le territoire disponible.

La population a augmenté de 4.8 milliards entre 1950 et 2015. La population était de 2.5 milliards d’humains en 1950. Les humains ont de plus en plus tendances à se regrouper en collectivité.

Les humains aiment se regroupés dans des collectivités ou coexiste entre 15 millions et 20 millions d’individus dans des agglomérations urbaines. Notons entre autres les villes suivantes :

Ville
populations
Grand New York
±25 930 000
Mumbai
±21 900 000
Séoul
±20 550 000
Mexico City
±20 450 000
Le Caire
±19 620 000
São Paulo
±18 850 000
Shanghai
±16 650 000
Hong Kong
±15 800 000
Los Angeles
±15 250 000
Lagos
±15 500 000
Calcuta
±15 100 000
Moscou
±15 000 000
Delhi
±13 850 500
Jakarta
±23 650 500
Ōsaka ]
±18 645 000



La région du Grand Tokyo totalise près de ±35 millions de citadin. Il semble que les grandes agglomérations citadines ne cesseront pas de s'agrandir. Les agglomérations de 20 millions croîtront vers ce qui existent déjà soit des agglomérations de plus de 35 millions de citadins. 

L’environnement naturel ne suit pas le plan de développement des humains. Les infrastructures avec le temps, tels que :
  • les égouts sanitaires et pluviaux ne peut subir toute la charge des citadins dans les villes lors des fortes pluies,
  • les sites enfouissement se remplissent plus vite que prévues,
  • la consommation d'énergie à partir de ressources naturelles est continue et en perpétuelle augmentation. 
  • les îlots de chaleur des activités anthropiques créent des fluctuations de températures imprévues et des cataclysmes.

La responsabilité d’être un humain sur la terre devient encore plus significative, car la dénaturation crée des nouveaux phénomènes terrestres dont les forces de la nature tuent des citoyens de façon aléatoire.

Les enseignements ne devraient pas conditionner les humains à vivre en troupeau en dépendance avec un système social, mais bien apprendre à s’intégrer dans un environnement qui à des caractéristiques différentes selon la localisation su la planète.

Comment éduquer les humains afin de respecter la capacité de charge d’un milieu urbain en équilibre avec les biotopes naturels…voilà une question d’examen intéressant qui n’a pas de réponse en ce moment…malgré l'occupation millénaires pour certaines ville et centenaires pour d'autres d'occupation des villes du monde....

Un îlot de chaleur composé d’une vie urbaine de 20 millions d’individus qui vaquent à ses activités quotidiennes; ravage tous les biotopes naturels et transforme l’équilibre de tous les  écosystèmes périphériques. Comment faire pour atténuer ses impacts anthropiques de ces Îlots de chaleur….

Les enseignements historiques sur les disparitions des civilisations passées devraient  permettre de donner des trucs pour se responsabiliser comme citadins et éviter de refaire l'histoire.

Les troupeaux humains sont des réalités qui causent des déséquilibres dans l’utilisation des ressources de notre planète.

Le principe de précaution devant les dangers que posent les actions humaines devraient faire l’objet d’une attention académique et les solutions  devraient être enseignées à l’école…

Dès le plus bas âge…la consommation par des modèles économiques revus et corrigés devrait permettre aux citadins de devenir des agents de transformation positif de notre environnement.

Il semble que le modèle économique utilise le consommateur pour acquérir les produits et des services sans avoir de responsabilité de régulation en redonnant pas à l’environnement les éléments essentiels pour sa régénération.

Nous sommes comme des trous noirs…nous aspirons les produits et services et ne remettons rien à l’univers autre que du gaz carbonique, des excréments et de l’urine…Ne pourrions pas jouer un autre rôle d’être excréteur…
Que pourrions nous enseigner....aux urbanistes, aux architectes, aux promoteurs immobiliers, aux ingénieurs en infrastructure, aux élèves en science politique, aux économistes.....
Si le programme de formation de ces sphères professionnelles devrait être revu et corrigé qu'elle serait le programme de formation à mettre en place dès la fins des études secondaires...
Ne serait-il pas de notre temps que ceux qui construisent l'avenir n'aient une obligation de moyen de prendre en considération de nouvelles initiatives pour permettre à la nature de garder ses possibilités de régénération... Le développement durable n'est plus suffisant.... il faut développer la transcendance écologique. Ce n'est pas les idées qui me manquent pour développer ce sujet....mais vous qu'oseriez vous pensez comme projet concret à ce sujet....exemples....

Winkz 2015
 

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