mercredi 5 août 2015




L’environnement  et   l’enseignement

L’environnement ne permettra pas de migrer tous dans la même vallée de l'ÉDEN.....comme nouveaux locataires environnementaux….
sans connaissances des règles écologique pour préserver celle-ci par des écoles biotiques.


Plus la colonisation humaine de la planète terre peuple la planète terre, les conditions terrestres deviennent de plus en plus inhospitalières :


 Il y a la désertification,

les feux de forêt incontrolable,

la fonte des neiges de l'Antarctique,

les îlots de chaleur urbains,

la détérioration de la qualité de l’atmosphère,

l’augmentation des gaz à effets de serre

La surpopulation dans des agglomérations de populations dans des mégalopoles de plus de 25 millions d’habitants.


Les records de chaleur (plus de 67 degrés Celsius enregistrés en Iran)

L’augmentation du niveau des mers par le réchauffement climatiques

Les tempêtes climatiques qui libèrent une énergie destructrice de façon aléatoire.

Les inondations causées par des moussons de plus en plus fortes

Les périodes de sécheresse qui durent de plus en plus longtemps.

Les guerres civiles, idéologiques, politiques et démoniaques.

Cela à pour conséquence un ravage planétaire et cause le déplacement de population dues aux conditions inhospitalières suite aux modifications rapides du milieu. Nous sommes confrontés à un phénomène de migration environnementale occasionnant la démobilisation des réfugiés environnementaux qui auront à quitter leurs milieux de vie.

Normalement les principaux phénomènes de migration des populations se réfugiant dans un pays limitrophes étaient occasionnés par les guerres. Des le début des années 1950 des accords internationaux ont tenté d’être signés entre les principaux États de la planète pour définir le statut de réfugié aux migrants qui sont obligés de fuir leurs pays d'origine.

Depuis les dernières décennies, il y a des préoccupations internationales sur le phénomène des migrants environnementaux.

 Il y a des pronostiques qui avancent qu’il y aura plus de 1 milliard d’humains qui seront des migrants environnementaux entre la fin de cette décennie et le milieu du prochain siècle. (2050-2100)

Il y a des organisations internationales qui travaillent sur ce phénomène, dont l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM).  

La définition de migrants environnementaux est définie par :

Personnes ou groupe de personnes qui, essentiellement pour des raisons liées à des changements environnementaux soudains ou progressifs influant négativement sur leur vie ou leurs conditions de vie, sont contraintes de quitter leur foyer ou le quittent de leur propre initiative, se déplaçant à l’intérieur de leurs pays ou en sortent.

 Il y a actuellement des visions différentes entre la notion de réfugiée qui quitte pour de raisons de survie dans un environnement difficile et ceux qui quittent par la destruction du milieu suite à des catastrophes naturelles.


La migration des humains est un phénomène qui s'est amplifié par l’inhospitalité du milieu terrestre qui se vide de ses richesses écologiques. La migration des humains est un des phénomènes qui obligent l’éducation culturelle, religieuse, ethnologique et les connaissances exo-terrestres à se mélanger lors du déplacement massif de population d'un pays à l'autre.

L’éducation, telle que nous la pratiquons actuellement est exo-terrestre; c'est-à-dire qu’elle ne prend pas en considération les ressources du milieu pour survivre et pour préserver la richesse écologique du milieu ambiant.
L’enseignement qui se pratique aujourd’hui idéalise des principes, des postulats qui favorisent la communication et la contribution sociale et économique dans un environnement urbain totalement dépendant des ressources exploitables qui y sont commercialisées....et qui ne sont pas contrôlables par les apprenants. Il ne faut pas perdre de vue que Pépin LeBref en Europe, dès les années 750 suivi par Charlemagne ont joué un rôle important pour combattre l'insurrection, dans la création d'une école populaire mobilisatrice pour contrecarrer les envahissements d'ennemis religieux. L'école a resté mobilisatrice pour assouvir les politiques sociales.

Apprendre à consommer dans le 21ième siècle n'est pas apprendre à survivre à la destruction des ressources vitales de notre environnement et aux cataclysmes naturelles des forces de la nature.
Les apprenants n’apprennent pas à survivre à partir des ressources de leur milieu, mais apprennent à les consommer comme le bétail qui consomme sa moulée sans savoir d’où elle provient. 
Une éducation exo-terrestre qui donne des connaissances empiriques sur ce qui à améliorer dans la dépendance sociale des individus les uns face aux autres est "endoctrinante" et "dénaturante". 
Aucune connaissance historique sur l’essence même des éléments de l’environnement, sur la connaissance des valeurs nutritives des plantes qui nous entourent.... et des techniques de remplacement par atténuation.

Aucune information sur les vertus thérapeutiques des plantes....pour aider à soulager les infections de la prolifération bactérienne d'un cadre de vie imporvisé.

Aucune information sur la notion d’atténuation et de remplacement de ce que nous prélevons dans notre environnement.

Aucune information sur l'utilisation des apports énergétiques puisées dans notre environnement.
Aucun indice sur les règles de survie dans un environnement naturel.
Les migrants de l’environnement sont obligés de se déplacer pour s’intégrer dans d’autres systèmes économiques ou sociales.... pour s'allaiter des ressources à consommer dans cette nouvelle terre d’accueil en siphonnant l'énergie de cette terre dont ils n'ont aucune connaissance des facteurs biotiques locaux. 

Le deuil de ce qui n’a plus de valeur écologique et vite oubliée par l’instinct de survie qui est d’acquérir les biens et services nécessaires au maintient de son existence anthropique.

Envahir les territoires pour conquérir les ressources naturelles et la richesse écologique est un placébo qui permet de ne rien régler. Migrez pour survivre est une alternative quand on a perdu confiance à la richesse de notre territoire ancestrale.

Mais voilà; s’empiler les uns sur les autres, avec des valeurs exo-terrestres différentes dans son éducation culturelle…n’est pas une source de pérennité, mais de débat et de lutte de pouvoir conflictuelle.

L’enseignement de base serait de connaitre les règle élémentaires de l’hygiène, de l’alimentation, de l’importance écologique de l’équilibre des espèces qui vivent les uns tributaires des autres qui caractérise la terre d'accueil.
La mathématique n'est qu’un support à la compréhension, l’écriture est un renforcement de ce qui doit être retenue. L’expérimentation de la survie par la capacité de prélever des ressources que l’on est capable de renouveler par des initiatives écologiques.... voilà ce qui sauvera le monde. Les migrants doivent passer par une éducation biotiques pour respecter la terre d'accueil. Les camps de réfugié.....doivent être remplacer par des écoles biotiques organisé par des forces internationales unifiant l'UNESCO et OIM.

Dans le cadre des programmes d’éducation biotique, l’école secondaire devrait être le magasin générale des connaissances acquises afin de permettre de faire des stages d'intégration dans des biotopes écologiques sensibles dans lesquel ....par le travail physique et intellectuel l’équilibre des biotopes serait compris et maintenue.
La contribution de cette période d’enrôlement environnemental dès l'adolescence serait assortie de connaissance sur les mesures d’urgence environnemental et des actions écologique de compensation pour utiliser les ressources énergétiques et vitales d’un environnement fragile.

Car un jour, si la destruction de l'équilibre terrestre se continue au même rythme, il n’y aura pas de place à migrer dans la vallée de l'Éden….que par l'entremise d'une arche de Noé que l’on appellera une navette spatiale.

L'école devrait s'identifier à l'écologie urbain du quartier.

Elle devrait être écologique et le centre d'expérimentation d'actions communautaires. Une serre, un vivarium, des aquariums, une volière, une basse-cour, des modules d'accumulation électrique, des technologies innovatrices solaires, éolienne. Une bibliothèque vivante d'herbier et qui collectionne et produit les semences du milieu. Des ateliers pour expérimenter ce que l'on apprend. La volonté que l'école soit carbone neutre ainsi que productive d'une performance énergétique positive. Leader de son milieu éducatif des programmes de stage, de démonstration sont offert en portes ouvertes...voilà l'école biotique que Winkz cherche à mobiliser.

Une petite réflexion:

Lorsqu'il y a eu les plus terribles catastrophes naturelles (inondation, verglas, tremblement de terre, feux de foret à la limite des villes, ouragan, blackout, tornade, typhon, glissement de terrains, accidents nucléaires, urgences environnementales industrielles, contamination de l'eau...etc etc le premier lieu utilisé pour regrouper les communautés dans des abris sécuritaires c'est l'école du quartier. Alors, dotons les écoles des infrastructures pour permettre  d'être dynamique dans la communauté en fournissant des actions bénévoles des connaissances acquises par les étudiants.

Winkz 2015

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