lundi 31 octobre 2016









L’environnement et l’enseignement




La culture, l'éducation et l'enseignement...3 axes qui permettent d'influencer le devenir de notre jeunesse.....







La culture générale de ce qui entoure est pour un apprenant un terreau qui permet de faciliter le développement d'attitude à adopter pour s'adapter au rythme effréné d'une société.






L'éducation est un conditionnement dans la façon de se comporter en présence d'autrui qui facilite le transfert d'informations.






L'enseignement est une actualisation des connaissances privilégiées dans l'évolution sociale.





Ces trois thèmes sont des axes qui doivent amener son lot de connaissances et d'expériences pour permettre aux jeunes apprenants de donner un sens à l'acquisition d'informations qui leur serviront d'outils d'intégration pour la réalisation de leurs capacités humaines.






La culture peut détruire toute la bonne volonté d'une cheminement adapté à un individu afin d'atteindre son apogée intellectuel....


Tout comme l'éducation peut détruire le développement des apprenants par son ingérence sur la vie privée...ainsi en est-il d'un enseignement mal adapté qui aura le même résultat.






La garderie, les services de garde, l'école, les cérémonies de culte, les croyances doivent travailler de pairs...





Chercher l'excellence dans l'enseignement pour permettre une autonomie valorisante pour les jeunes apprenants est insuffisant...s'il n'est pas supporté par les autres sources d'influence, telles que la culture et l'éducation.






Pour les parents, espérez déléguer les responsabilités d'éducation pendant qu'ils vaquent à leurs occupations afin de maintenir leur statut social est paradoxale.





Pour les études primaires et secondaires....un parent qui a fait ses études et a complété ces niveaux d'étude.....devrait être un aide au devoir....Si le commentaire est que : je ne m'en rappelle plus...

alors il est de la première responsabilité pour le parent de s'actualiser afin de participer activement à l'éveil des connaissances acquises par sa progéniture...





Il est de même pour le savoir vivre en société qui doit permettre à la culture personnelle de s'adapter au contexte social...Ce n'est pas les sources d'informations qui manquent sur l'histoire et la sociologie des gens qui nous entoure...c'est la volonté de les consulter.





Les techniques d'enseignement se modifient au fil du temps, mais les connaissance transmises restent sur les mêmes paradigmes et postulats...les règles grammaticales, les mathématiques restent ce qu'elles sont.   La géographie et l'histoire restent gravées et ne se déplacent pas avec le temps...les continents restent attachés les uns aux autres, les étoiles orbitant aux mêmes intervalles et les marées des mers se déferlent sur les berges qu'elles ont façonnées au fil du temps.





Il n'est pas valorisant d'accepter avec le temps une eutrophisation des connaissances des parents...qui ne se rappellent plus ou qui ne veulent pas faire l'effort de s'actualiser....que d'espérer que le comportement soit impeccable des étudiants qui ne reçoivent pas l'encadrement dans le noyau familial.






Il était justifiable au Québec après la guerre que l'enseignement ait été démocratisé....mais avec les initiatives du secteur publique depuis la création du système scolaire public qui encadre tous les enfants du Québec et des politiques d'éducation...comment pouvons nous prétendre que les parents n'ont pas eu les mêmes possibilités que leurs enfants....






Si  les parents ont fait leurs études primaires et secondaires....pourquoi ne seraient-ils pas aidant pour renforcir les concepts appris par leurs enfants le jour....






Il serait compréhensible que des parents qui ont décroché; espère voir leurs enfants réussir là ou ils ont laissé tomber leur étude...il y a de l'aide aux devoirs, des techniciens de l'enseignement qui peuvent se substituer à ces situations....mais pour ceux qui ont réussi les mêmes programmes que leurs enfants, ne seraient-ils pas approprié de s'adapter et prendre avantage de s'actualisé à travers ses enfants..






Pour cela la culture sociale et l'éducation familiale doit prendre les responsabilités qu'ils leurs reviennent....


Il est discuté actuellement sur les tribunes publiques un courant de pensée ou les devoirs ne devraient pas être donnés aux apprenants pour amener à la maison.   Selon les propos que je viens de tenir, les devoirs sont essentiels au primaire et au secondaire pour permettre au noyau familial de s'actualiser et utiliser à bon escient les concepts vues en classe par les enfants...




Les objections telles que: nous n'avons pas le temps, nous ne comprenons pas la nouvelle pédagogie, nous sommes dépassés et déphasés...sont les principales récriminations des parents.






Si les études primaires et secondaires, dans le temps, ont été réussies par les parents, alors ceux-ci devraient réussir à s'adapter et comprendre plus vite que son enfant; afin de l'aider dans son cheminement scolaire dans ces niveaux de base, que sont les études primaires et secondaires...




Pourquoi ça ne semble pas fonctionner de façon efficiente la scolarisation ????? La source du problème c'est qui ou quoi....disons que le disfonctionnement  entre la culture, l'éducation et l'enseignement est une source d'inefficience...




Les mêmes propos s'appliquent pour l'immigration; des nouveaux arrivants; les connaissances mesurées par des examens du Ministère de l'éducation devraient permettre de justifier que les exigences de performance académique exigées par les cheminements du niveau scolaire primaire et du secondaire ont été supérieur à la note de passage exigée pour les étudiants naturalisés. La maitrise des connaissances doit être démontrée par  les parents...( mathématique, maîtrise de la langue maternelle et d'une langue seconde, géographie, science naturelle, histoire mondiale, sports collectifs, culture générale), pour assurer une intégration ou les parents deviennent pas un fardeau additionnel pour le parcours académique de ses propres enfants et de la société d'accueil.


Winkz 2016

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