L’environnement  et   l’enseignement….

Les technologies d'information et de communication, la publicité et l'enseignement...?

Véhiculer la connaissance sur l’environnement est une priorité dont les technologies et les ressources de transmission des connaissances devraient tous participer.

Il y a un vocable qui est important pour permettre de comprendre notre l’environnement :

Notre environnement est une source d’enseignement de tous les jours à laquelle s’ajoute des enseignements formels sur la connaissance de notre univers.

Apprendre de l’environnement avant d’enseigner l’environnement devrait être pour les humains une priorité. Surtout avec les possibilités de communication cybernétique qui peut faire le tour du monde en quelques heures.

Transmettre…..à partir de notre époque ou la prise de conscience nous indique que les ressources de l’environnement sont limitées; il est un nouvel axe de responsabilité qui s'impose dans la préparation adéquate de la prochaine génération à faire face aux défis environnementaux.

L'accessibilité au savoir; nous donne comme responsabilité d’être un acteur important dans le transfert de connaissance de ce qui constitue notre univers au génération future. Il est vrai que nous déléguons notre responsabilité éducative à des professionnels pour permettre à nos enfants d’acquérir des habiletés afin de leurs permettent d’être opérationnels dans nos sociétés, mais cela n’enlève pas la responsabilité d’apprentissage qui sera nécessaire tout au cours de sa vie terrestre simplement pour s’adapter aux conditions variantes du quotidien.

L’adaptation et l’intégration au moment présent ne peuvent rester une série de gestes improvisés. L’interrelation qui était nécessaire pour créer une civilisation organisée en société est une étape historique qu’il faut dépasser.

L’enseignement pointu de matières académiques ne doit pas viser qu’une connaissance thématique par cursus isolé.

La culture, la religion, le syndicalisme, le patronat, la politique, le commerce, les technologies d'information et de communication;

sont tous des systèmes organisés qui cherchent à véhiculer des valeurs propres à une organisation anthropique qui n’aura comme fatalité que d’isoler l’espèce humaine d’un milieu terrestre dénaturé.

Je ne dis pas que cette orientation n’est pas valable, mais elle échappe la connaissance de ce qui est à la base de notre autosuffisante. Quand il n’y aura plus d’air respirable, plus de nourritures abordables, plus d’eau pure : il n’y aurait plus de place pour les humains ni pour d’autres espèces.

Le développement durable est une utopie qui est une récupération politique de L’Organisation Des Nations Unies….qui recherche la participation du pouvoir politique dans la protection de droit des humains à travers l’environnement. 

Le développement durable actuellement est issu de cette valorisation de la protection d'une humanité ou les humains ont des droits supérieurs à tout ce qui vit ou existe sur cette planète. Ce postulat n'a pas de sens, dans une perspective de vie terrestre, car il fait fit de l'interdépendance entre les espèces et des matières organiques et inorganiques qui les composent; favorisant le chaos.

Le postulat du développement durable tire son essence même d’une adaptation spécialisée qui tient compte que d’une capacité technologique et d’un contexte commercial. Il encourage l'exploitation dans un cycle qui mobilise dans un premier temps des connaissances, des habiletés dans un deuxième temps et dans un troisième temps…. une transformation dite durable, selon des standards et des compétences édictés par des humains dans leurs quotidiens. 

Avec 8 milliards d’individus qui partagent le biotope terrestre de la terre;
il faut rééquilibrer ce qui est utopique et qui galvaude une projection d’un univers artificiel dénaturé.

Il faut au contraire accentuer le transfert de connaissances réelles de notre environnement dans une optique d’intégration des humains à un équilibre naturel qui le dépasse. 


L'information et la communication ainsi que l'enseignement; sont des termes qui dans leurs essences même se chevauchent. Les médias visuels, tels que: la télé, les téléphone intelligent et le web transmettent de façon équivalente de l'information qui ont une teneur informative, éducative et artistique. Pour les enfants, toute ces formes d'informations qui leurs sont accessibles les exposent et développent des habiletés adaptatives qui restent encore à étudier dans les comportements de nos nouvelles générations y, z et web2.0. 

Voici une statistique qui fait réfléchir:

http://www.phac-aspc.gc.ca/publicat/cdic-mcbc/31-4/ar-01-fra.php


Imaginez, si à l'école la forme d'enseignement est cafardeuse et ennuyeuse; instinctivement les enfants vont vites en dehors du cadre scolaire adopter un comportement d'écoute dans des médiums animés et colorés, tels que les médias électroniques qui leurs permettent de synchroniser un contenu adapté à leurs personnalités.

Inévitablement la publicité va les ciblés comme potentiel consommateur. La publicité est une forme de communication.... qui se rentabilise par des chiffres d'affaires de milliards de dollars.
Elle fait partie de la vie des média qui font parties de notre vie et nous influence sur la connaissance d'un monde de consommation.

http://www.cem.ulaval.ca/pdf/Donneesfinancieres.pdf

La publicité peut devenir une source d'information qui peut être interprété comme un vecteur inconscient ...d'une forme d'enseignement.... sur les habitudes de la consommation humaine.  Il y a des études intéressantes sur la contribution de la publicité dans une tété qui conditionnement et expose les téléspectateurs et surtout le groupe d'âge représenté par les enfants.

http://www.memoireonline.com/02/09/1970/La-reception-et-linfluence-de-la-publicite.html

Prenons comme prémisse que la publicité est une forme d'enseignement privé sur la consommation; 

le monde des communications, de la politique, de l’enseignement, du syndicalisme, de la religion et du patronat se retrouve dans une table de concertation organisée par l’UNESCO et ONU (PNUE) et ISO ou un consensus international s’entendraient dans une norme international pour modifier la diffusion publicitaire en intégrant un contenue d'enseignement de l’environnement dans 50%  de son contenu pour toute technologie qui utilise une communication par les ondes.

Une refonte du droit publicitaire serait intégrée au niveau mondial pour s'intégrer aux réalités terrestres.

Que vaut actuellement une publicité pour inciter à vendre des produits en inventant tout un monde irréel….  au canada il y a le Conseil Canadien des normes de la Publicité qui émet des directives dans lequel l'environnement est absent:  

http://www.adstandards.com/fr/Standards/canCodeOfAdStandards.aspx 

Le budget de publicité des entreprises canadiennes pourrait à la fois justifier les valeurs de l’environnement en enseignant des vertus réelles auxquels le produit s’adresse (cycle de vie). Le territoire est de plus de 8000000 de kilomètres carrés pour un population avoisinant les 40 millions.

L'information sur les biens et services de notre environnement ne devrait pas être un monopole des publicistes mais devrait être colligée  par une équipe mixte dont  des professionnels issus de l'environnement et spécialiste du cycle de vie validerait le contenu des publicités. Il y a la série des normes ISO 14020, 14021, 14022, 14023 et 14024 qui oriente la publication des vertus environnementales des produits sur une base de commerce vert. Mais qu'en est-il des publicités qui utilisent les ondes et le télévisuel? 

ll y a de l’information qui abrutie, dénature les choses. S’opposer à ce type de communication, privilégier la réalité de biens et services dans un cadre d’adaptation à un environnement qui intègre l'écologie; dont les variables de consommation et d’éducation, ne rechercheront pas de véhiculer le mirage du bonheur par des gains personnels, mais de la fierté d’une appartenance à un environnement diversifié qui ne veut pas mourir.

Cette réorientation de priorité dans les véhicules de transmission des connaissances et de l’enseignement de l’environnement devrait inciter une participation dans un minimum  d’éthique environnementale dont les droits humains ne devraient pas dépasser l’intégration à son milieu.

La lune tourne autour de la terre, la terre tourne autour du soleil, les humains ne devraient pas tourner autour de cette question fondamentale de transmettre la connaissance de l’environnement à tous.

Winkz  avril 2014

https://www.facebook.com/ExpertiseEnvirotest