samedi 13 septembre 2014

L’environnement  et   l’enseignement….

GANG ET ENSEIGNEMENT….DANS UN ENVIRONNEMENT SOICALISANTE

 Si à la base nous reconnaissons que dès la naissance nous sommes dans un processus d’adaptation à notre environnement et que ce processus s’actualisera jusqu’à notre mort…. 
Alors la majeure partie de l’apprentissage pour notre adaptation proviendra d'informations provenant de notre environnement.

Les fonctions d’éducation et d’enseignement sont très intéressantes dans le cadre de la société industrielle, car elles favorisent la transmission des connaissances acquises dans le processus d’adaptation à notre milieu de vie.


Il est intéressant d’observer que pour obtenir des connaissances acquises par nos pairs; il y faut adhérer à un système d’enseignement. Ce système est basé officiellement sur des institutions d’enseignement qui spécialisent des professeurs pour transmettre un bagage de connaissances utiles pour développer des compétences et des habiletés dans  notre milieu de vie.

Dans la nature pour les espèces animales, il y a aussi un processus d’apprentissage pour s’adapter à l’environnement.

La fonction d’éducation et d’enseignement des habiletés et des compétences propres à la survie de chaque espèce se transfère par les géniteurs dominants et de leurs communautés. Il n’y a pas de spécialisation d’une fonction d’enseignant dans la nature. Disons que la syndicalisation dans le monde animal n’est pas une préoccupation pour les géniteurs qui doivent veiller à sevrer leurs progénitures.
Le transfert de connaissance dans la nature est adapté au besoin d’adaptation et de survie.

Les rôles et responsabilités dans la nature s’établissent dans une lignée d’essai, d’erreur et de réussite qui sont transférés de génération en génération. 

Pour la race humaine, il semble que l’éducation et l’enseignement soient clivés et pris des orientations différentes.
L’éducation devient une spécialité dévolue à une classe d’humain (enseignant) qui s’est spécialisé dans le transfert des connaissances d'un milieu de vie sociopolitique.

Cette catégorie d’humain (enseignant) a une responsabilité sociale de transférer des informations qui peuvent servir à partir de leurs compréhensions à générer des habiletés utiles pour vivre en société; dans un milieu de vie centré sur la reconnaissance de droits (civil, criminel et social, économique, international).
La société évoluant; les connaissances, pour vivre à l’intérieur d’une organisation de plus en plus sociale, sont confiées aux institutions scolaires qui gèrent les enseignants. Le but; faire de notre progéniture un être adapté à son environnement social pour être fonctionnel et pour éventuellement servir à partir d’habiletés et de compétences développer.
Il semble y avoir une coupure importante de l’individu et de son enracinement avec le milieu naturel dans un monde industrialisé et technologique.

Toutes les connaissances, que ce transfert les autres espèces, ont un lien avec des éléments naturels et collectifs. Ainsi les plantes utiles sont reconnues par les animaux qui s’en servent pour se nourrir, pour se guérir, etc., etc.
Les éléments du milieu sont connus pour se désaltérer, et se protéger.

Pour les sociétés de consommations et industrielles, les humains ne connaissaient à peu près rien des vertus de leurs environnements naturels pour les aider à survivre.

Il faut communiquer avec des tribus indigènes ou des cultures autochtones pour essayer de garder un lien avec les secrets de ce que notre propre biotope naturel peut permettre pour nous aider à vivre en santé.

La santé, l’adaptation à son milieu, le bien-être en tant qu’être ne font pas partie de cette éducation dite spécialisée que nous confions aux professeurs.

Il ne fait pas partie non plus d’un enseignement pour nous les parents, qui ont comme tâche à veiller à l’éducation à l’extérieur de l’institution d'enseignant, encouragé par notre système social.

Donc l’enseignement de l’environnement se fait quand….vers 19 ans... quand l’étudiant veut se spécialiser en environnement….

Et bien c’est un peu trop tard….et si on regarde les programmes d’enseignement en environnement, les connaissances acquises par les autochtones et les cultures qui vivent en contact avec l’environnement resteront des secrets qui ne seront pas dévoilés.

L’enseignement et l’environnement semblent deux réalités qui se croisent dans les discours éducatifs que lorsque la société en trouve un avantage pour faire évoluer sa systémique.  Devant cet état de fait et bien…..

Reconnaissons les limites de l’enseignement pour obtenir de réelles connaissances sur notre environnement.

Si cette limitation est reconnue alors il manque une maille aux chainons….et qui va combler ce manque….

Disons que pour l’instant, c’est la fonction à personne de remplir ce transfert de connaissances historiques entre les vertus des espèces et des plantes entre elles…..

Ne serait-ce pas un manque ressenti par chacun de nous sur notre place dans cet environnement qui est de plus en plus un monde artificiel systématisé par une organisation sociale déconnectée des réalités écosystémiques prévalentes. 
Ce manque de connaissance ne serait-il pas cet état qui engendre le mal de l’âme qui fait que nous ne reconnaissons pas la place que l’on doit prendre dans cette réalité terrestre.

Ne serait-ce pas une des explications au décrocheur et au suicide.

Il y avait les postulats théologiques qui dans le passé remplaçaient ce lien avec notre environnement planétaire.

A partir du moment ou la science propose des concepts physiques, biologiques et chimiques qui remplace explique ces mystères métaphysiques qui nous reliaient à notre environnement et bien il ne faut pas se surprendre que notre enseignement et l’éducation actuels crées des mésadaptés.

Les plus résilients des mésadaptés sont ceux qui trouvent la force de s’intégrer aux activités sociales valorisantes et renumérantes. 
Le fait que les réseaux s’organisent dans la rue, dans les communautés n’est que la conséquence de créer une auto apprentissage pour rechercher des liens encore viables avec notre environnement. Dans les faits si après s’être fait dénaturer et mésadapter à notre environnement naturel....
il n’y a pas de place pour s’adapter au besoin d’une systémique social qui ne partage pas nos valeurs personnelles et que l’on se sent rejeter par elle ou allons nous rechercherons réconfort et un impression de faire partie de cette vie terrestre…la réponse est dans une organisation de gang….
Le gang devient alors de l’anti culture…gang politique, gang économique, gang de jeunes, gang de rebelles, gang de combattants, gang Facebook, gang associative, gang professionnel, gang d'entrepreneur…etc etc.

Le gang devient un nouvel acteur dans l’enseignement de la vie social….Cette fonction devient prise par des autodidactes qui vont se transférer des connaissances dans un processus d’auto apprentissages un peu comme des meutes…qui ne sont pas dans la nature, mais dans un tissu urbains de béton et asphalte ou l'organique et l'inorganique ont été assemblés en structure artificeielle.

Le gang s'intègre a une réalité d'un besoin éducatif dans une dimension adaptative dénaturée. Il n'est pas à la veuille de disparaitre ce concept, car il répond à un besoin d'une réponse laissée en plan par l'éducation; qui est de s'enraciner dans son milieu.  Imaginez que nous avons des racines qui ne veulent pas mourir dans un terreau d'asphalte et de ciment. La plante que je connais qui réussi le mieux cette adaptation est le pissenlit. (dent -de- lion)

 

Winkz 2014
 

 

 

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