L’environnement et l’enseignement

La pollution de l'environnement n'est qu'une représentation d'une pollution de l'intellect.

La maxime suivante, "qui ne dit rien consens" est une maxime intéressante....elle est l'opposée à "qui parle pour ne rien dire...n'a pour excuse que sa musique"...




Les deux maximes sont le résultat de l'insignifiance.... qui est utilisé dans une maxime intéressante, qui n'a de réalité que pour une vie humaine homocentrique qui est déconnectée de notre environnement:

"Il y a de la noblesse à éprouver son insignifiance, de la noblesse à savoir qu'un coup de vent peut balayer nos vies et ne rien laisser derrière nous, pas même le vague souvenir d'une petite existence. (Laurent Gaudé, 2010)."

Critiquer, dénigrer, s'opposer, sans émettre de solution est une forme d'insignifiance...à partir du moment ou on s'exprime que pour faire réagir et que l'on à pas réfléchie à une alternative pertinente, adaptée a une résolution de problème du point vue relevé.....alors...on devrait se taire, s'éduquer et chercher afin de proposer une alternative qui est à la base d'une solution à l'élément central qui est exprimé....

L'éducation doit permettre d'avoir des discours qui font avancer les choses...pas simplement crier au loup...quand on se sent victime, froissé, opprimé....il faut dépassé son état d'insignifiance ....

Dans les faits à partir du moment ou l'on accepte d'écouter toute une série de mots qui n'ont d'objet que de donner une opinion critique sans solution...Les mots exprimant l'état de cette âme torturée ou polluée ne devrait pas faire l'objet d'une écoute active.... si elle n'intègre pas un cadre minimale d'analyse et de solution......Un cadre de décontamination de l'âme est requis peut servir de base à une amélioration collective.

Critiquer sans proposer...devrait être interdit dans les communications publiques......la liberté d'expression n'est pas de donner une tribune aux tarés; dont la toxicité de l'âme n'amène qu'un gout d'amertume de l'incapacité de résoudre sa dianétique.....

L'éducation doit permettre d'encadrer la capacité de communiquer socialement dans un but contributif et non "zizanique".....


Les bonnes manières en matière de la liberté d'expression devrait encourager le savoir-vivre qui n'est pas naturel dans les générations actuelles...

"Gros gens comme devant"...abaisse le niveau de recherche de solution, les attaques personnelles sur  des traits de personnalité, l'intimidation, les dérives humoristiques sur la vie privée...devraient faire l'objet de réflexion sur l'éducation en société.... Ce qui se résume de tout ça et bien:

Un enfant bien éduqué est une richesse. Par contre, un enfant mal éduqué est une catastrophe. Catastrophe pour l’intéressé lui-même, mais aussi pour la société dans laquelle bon gré, mal gré, il devra s’insérer, pour en augmenter la richesse s’il a été bien élevé, pour la diminuer au contraire. — (Alain Désiré Taïno Kari, 2011)

L'éducation et l'enseignement sont des thèmes qui se chevauchent... les deux doivent permettre, dans la communication, de proposer des solutions à des questionnements...et ne pas permettre la dérive du tarissement de l'âme  par des manques d'éducation et d'enseignement sur la façon de trouver d'initier des solutions à des problématiques courantes....

L'enseignement  ne peut remplacer les vertus de l'éducation. Dans l'enseignement, il faut travailler sur la résolution de problématiques concrètes qui sont actualisées au contexte social...il faut arrêter de proposer et de faire travailler les apprenants sur des cas hypothétiques qui n'ont pas de contact avec la réalité....

De plus la démarche de communication doit intégrer, au minimum, une habitude à la résolution de problèmes et à la recherche de solution réaliste...

Les politiciens, les autorités légitimes doivent donner l'exemple...pour cela; le savoir-vivre devrait laisser de coté les attaques personnelles, le ouï-dire, la diffamation, la communication de problématique sans être accessoirement accompagné de constat et de piste de solution....

Parler pour parler...contre l'individualité...n'est pas une solution globale acceptable pour prendre les actions les plus durables....

Enseigner le savoir-vivre dans un pluralité environnementale est un défi... ce qui concerne près de 7 milliards d'individu.

Winkz  2016